Bonjour à tous moi c’est Analisa.
Je suis une jeunes (24a) femme soumise qui cherche un maître pour me dominer d’abord virtuellement puis en réel, pour m’amuser également. Novice
Niveau age, je n’ai pas trop de différence donc plutot à la recherche d’un homme pas très âgé ni tres jeune. A partir de 25 ans jusqu’à 35 voir 40 ans max.
Il sera prévenu que je suis ronde physiquement, petite de taille.
Ma recherche d’un dominateur me faire lâcher prise et me procurer énormément de plaisir. Et surtout ce maître que je cherche me libèrera de mes tabous divers et véri&s. Ma recherche se porte sur des pratiques hard mais tout en restant clasique pas d’uro ni de scato…
Plutôt me faire attacher, m’interdire de jouir, me pincer les seins, en bref vous comprendrez messieurs. Etant très joueuse, j’apprécie la nouveauté, la surprise et préfère des partenaires au gros sexe circonscis et longs.
A vos textes messieurs. Je selectionnerais en fonction de votre prose.
Ps : je suis de Paris donc je recherche que des gens sur Paris on l’on peu vite se voir et mettre en exécution ce que nous voulons et non pas du virtuel.
Bonjour, j’ignore si cette annonce est toujours d’actualité, mais je vous propose un aperçu via ce cours extrait de ce que j’écris habituellement, en espérant que l’imagination et la rigueur qui me caractérise se rapprochent de ce que vous recherchez et qui sait, si cela vous plaît… :
Cela faisait à peine sept semaines qu’elle avait décroché ce stage, Julie bien que satisfaite de son poste actuel ne pouvait s’empêcher d’être nerveuse. Elle tenait absolument à ce que tout soit parfait, qu’il n’y ait aucune anicroche sur son parcours professionnel, elle espérait d’ailleurs pouvoir décrocher un contrat longue durée une fois son stage terminé. Elle bondit de son lit alors que le réveil n’avait pas encore sonné, elle fila à tout allure vers la salle de bain pour prendre une douche revigorante. Elle passa du savon sur son corps humide, et les senteurs de ce dernier imprégnaient désormais sa peau et l’ensemble de la cabine de douche. Elle soupira longuement, penchant la tête en arrière alors que le jet d’eau fouettait son visage, et se demanda comment faire pour boucler toutes les tâches qu’on lui avait donné.
Alors que le réveil dans sa chambre venait à peine de se mettre à sonner, elle était déjà prête, à l’aise dans un jean délavé, un débardeur sur lequel était inscrit « aujourd’hui je respire la joie » et où l’on pouvait voir ce chat faisant toujours une tête d’enterrement, et une chemise de lin en guise de veste. Son labrador assez âgé venait tout juste de sortir de sa léthargie, avec un de ses longs bâillements, il était habitué à sa maitresse hyperactive au réveil, et la suivait du regard alors que sa tête était posée sur le rebord de son panier. En étant moins rapide à courir dans tous les sens elle l’aurait sans doute entendu soupirer.
Elle prenait ses clés et se demandait alors si elle n’avait pas oublié quelque chose, puise se retourna.
– oh au revoir mon bébé !
Et elle fit une légère papouille sur la tête de son compagnon à poils longs, et quitta son domicile alors qu’elle avait bien trente minutes d’avance sur son horaire de transport. Elle passa son badge sur le lecteur à l’entrée du bus, et s’installa, par réflexe, au fond de ce dernier près d’une vitre, ses écouteurs bien à fond pour ignorer le monde qui l’entourait, la musique techno d’un rythme effréné lui permettait d’évacuer un peu de stress. Alors qu’elle regardait le paysage défiler, elle sentit une eau de Cologne, et se dit « mais… je connais ce parfum… » mentalement. Elle regarda sur sa gauche et remarqua un des cadres de son entreprise, c’était étonnant car ce dernier avait une de ces grosses voitures de marque Allemande, et se demandait bien par quel coup du sort ce dernier pouvait se retrouver dans « son » bus.
Leurs regards se croisèrent, elle n’osa pas faire le moindre geste, ni dire le moindre mot. Dans son esprit Julie pensait, à juste titre, avoir pris la pose d’un animal piégé tant son stress était monté d’un cran, au point où ça en devenait visible au niveau de son langage corporel, et gênant pour entamer une discussion. C’était Sasha, elle ne le connaissait que depuis quatre jours, il revenait d’un voyage d’affaire pour l’entreprise et n’avait discuté avec lui que deux fois. La première fois, elle l’avait confondu avec un gros client qui devait venir ce jour, et le pria de s’installer sur le canapé du petit salon d’attente en attendant qu’elle aille chercher son chef de service. Dans ce même laps de temps, le directeur général passa par-là, et s’écria
– Sasha ! Déjà de retour ? Et ce contrat avec les Anglais ? C’est signé j’espère ?
Elle se mit à rougir à un tel point qu’il ne put s’empêcher de lui sourire, ce qui aggrava le phénomène. Il ne vendit pourtant pas la mèche et se contenta de discuter avec leur DG. La seconde fois, elle venait de faire un paquet de photocopie, qu’elle classait soigneusement, avant de les distribuer dans les différents services à l’aide d’un petit chariot qu’elle avait emprunté au service courrier. Elle remarqua dans le fond de ce dernier qu’il restait une enveloppe portant la mention « Urgent » adressé à M. Grigori Sasha. Par conscience professionnelle, elle le monta à son bureau. Elle avait toqué timidement à la porte, déglutissant d’avance car elle savait très bien qu’il lui fera une remarque sur sa bévue de la veille. « Entrez » dit la voix froide de l’autre coté du bois, Julie ouvra la porte en se disant mentalement « tu le déposes, et tu ressors… non tu lui dis salut, tu déposes son pli et tu sors… comment ça salut ? mais non non non non… tu… » elle était arrivée près du bureau de Sasha et fut ramenée à la réalité par sa voix désormais suave et bienveillante « Tout va bien mademoiselle ? ».
– Oh pardon monsieur, euh… je… bredouilla-t-elle en tendant le pli.
– Oh merci beaucoup, ça fait une heure que je harcèle le service courrier pour qu’ils me le rapportent.
– De…euh… de rien m’sieur !
« M’sieur, mais ça fait pas professionnel du tout ça cocotte » se dit elle en mordant sa lèvre inférieure discrètement. Elle reprit son chariot et allait sortir de son bureau quand elle entendit de dos la voix qui lui donnait l’impression d’être transpercée au niveau du dos par ce son si pur et si agréable.
– Oh pas si vite, vous m’avez rendu un fier service, venez prenez le temps de vous poser un instant. Je vous fais un cappuccino ?
La question ressemblait pourtant beaucoup plus à une affirmation, malgré son air courtois, il y avait un soupçon d’autorité qui faisait un drôle d’effet à Julie.
– Euh… merci oui.
« Va vraiment falloir que tu lui parles normalement ma fille, sinon il va te prendre pour une simplette, et fini pour toi l’après-stage » se hurla-t-elle mentalement.
Et elle s’installa dans un des deux confortables sièges en cuir qui complétaient son bureau, et resta là installée dans son petit tailleur, il lui apporta son cappuccino avec sa soucoupe, dans un geste très classe il lui tendit en lui faisant un grand sourire. Puis, il rapprocha l’autre fauteuil pour pouvoir lui parler en étant près d’elle et pas de l’autre coté de l’immense grand bureau.
– Alors parlez moi un peu de vous. Lança-t-il avec un petit sourire en coin.
Julie déploya tout son courage pour lui parler de son début de carrière, ses aspirations, et sa volonté d’accomplir parfaitement son job. Il acquiesçait la plupart du temps, parfois accompagnant son mouvement de tête d’un sourire. Et alors qu’elle avait reposé sa tasse sur le coin du bureau, il se rapprochait alors d’elle. « Bordel mais qu’est-ce qui se passe ?» se dit elle en hurlant dans sa boîte crânienne. Il s’approcha encore, en sortant un mouchoir en tissu bleu nuit où figurait des initiales brodées avec un fil d’or « G S », et lui porta au-dessus de sa lèvre supérieure, nettoyant de la mousse de lait qui lui avait dessiné des moustaches. « Bordel de nom de Dieu de… » jura mentalement Julie puis soudain, alors qu’il était tout proche d’elle, et qu’il lui décochait un vrai sourire, du genre à se planter comme une flèche au cœur d’un tronc d’arbre, elle se sentit bien moins solide qu’un arbre à ce moment-là. A cet instant, avec ce sourire, et ce regard qui plongeait en elle, elle serra par réflexe les cuisses, redoutant que cette excitation soudaine ne transparaisse sur l’arrière de son tailleur, car elle sentait une chaleur terrible dans son bas ventre, et une certaine humidité… « Non mais c’est pas vrai tu vas pas lui laisser une trace sur son siège en cuir pendant que tu y es, contrôle toi !! ». Elle se releva précipitamment, et manquant de peu de faire tomber sa tasse qui était juste sur le bord du bureau, reprit son chariot en priant tous ses dieux qu’une tache n’apparaisse pas sur son fessier ou pire sur le fauteuil en cuir. Elle n’avait qu’à peine entendu Sasha lui souhaiter un petit « A bientôt alors » et là encore, cela n’avait rien à voir avec une question.
Il était alors là, pas très loin d’elle, et il ne s’approcha pas, une fois le bus arrivé devant le siège de la compagnie, il sortit d’un pas tranquille, aidant même une femme avec sa poussette, et s’engouffra dans le bâtiment sans même se retourner. Julie était tellement étonnée, qu’elle s’arrêta bien deux minutes en restant en face de l’entrée principale, ne comprenant pas ce qui se passait en elle, un genre de frisson le long de sa colonne, mêlée à une chaleur au niveau de son bas ventre et remontant comme un brasier jusque dans sa poitrine.
Lors de sa pause déjeuner, et n’ayant pas de ticket restaurant comme le reste des employés, elle prenait généralement une petite salade, et remontait déjeuner dans une salle de pause au deuxième étage. Alors qu’elle avait réglé son compte à ses tomates cerises, il apparut dans l’encadrement de la porte, par réflexe, elle prit sa serviette en papier pour s’essuyer la bouche nerveusement. « Les tomates ne laissent pas de traces comme la mousse de lait idiote, il va encore te regarder bizarre » lui dit sa voix dans son esprit.
– Rebonjour, vous ne déjeuner pas dehors ? lui demanda-t-il avec ce sourire « coup de hache » capable de fendre une buche, elle se sentait presque devenir liquide devant cette arme déloyale.
– Euh… je ne… balbutia-t-elle sans trouver le moyen de répondre directement du tac au tac.
Il prit une chaise, et s’installa près d’elle, elle pouvait le sentir à nouveau, son parfum, oh dieu qu’elle se sentait bien en sentant ce parfum. Elle battit les paupières un peu trop vite à son gout en humant cette douce senteur qui alimentait ce brasier dans son ventre.
– J’ai vu avec votre chef de service, vous avez des compétences, et on ne les exploite pas correctement, alors à partir de cet après-midi vous dépendrez de mon service, ne vous inquiétez pas inutile de faire cette tête, vous pourrez continuer de vous habiller détendu, d’ailleurs j’adore votre t-shirt. Pour fêter ça, je vous prépare un petit quelque chose ce soir, je passe chez vous, hmm disons, vingt et une heure.
Là encore elle n’aurait pas pu savoir s’il s’agissait d’une question, d’une affirmation ou d’un… ordre ? A cette option son entrejambe prit feu soudainement « Calme toi bon sang, t’es vraiment pas tenable ». Il s’éloignait d’elle en laissant sa chaise en plan, et alors qu’il était de dos dans l’encadrement de la porte, il s’arrêta net.
– Oh et avant que j’oublie, notez que ça ne me dérange pas le moins du monde, mais certains de nos dirigeant sont très vieux jeu, alors demain, mettez un soutien-gorge s’il vous plait.
Il disparut alors de la salle de pause, alors que Julie piquait de nouveau son fard « Merde !!!! Merde merde merde !!! J’ai oublié mon soutif » se dit-elle. Puis soudain elle eu les yeux ronds et les sourcils levé « mais il a maté mes seins ce goujat ! »
La journée passa rapidement, trop rapidement à son gout, elle reprit son bus, mais aucun signe de Sasha ce coup-ci. Une fois rentrée, elle regarda son intérieur, il était déjà d’une propreté exceptionnelle, mais elle se dit que ça ne suffisait pas. Elle promena son vieux toutou à un rythme un poil trop rapide pour ce dernier, qui ne comprenait pas pourquoi sa maitresse était si chamboulée, la promenade finie, il s’installa dans son panier et se laissa aller à une autre sieste.
– Tu as bien de la chance toi dis donc… murmura sa maitresse qui reparti dans sa salle de bain.
Elle reprit une douche et passa un temps atrocement long à choisir une tenue. Alors qu’elle n’était pas encore prête, elle venait tout juste de se glisser dans une petite robe mais avait encore les cheveux détachés et pas tout à fait secs, la sonnette retentit.
Elle courut en se cognant le pied dans l’encadrement de la porte de sa chambre et fini sa course en boitant jusque devant sa porte d’entrée.
– Oh navré je suis en avance ? dit-il avec un air innocent.
– Non non c’est moi qui suis en retard ! répondit Julie ignorant complètement l’heure.
Elle le fit entrer, et ce dernier enlevait sa veste pour la poser sur le porte-manteau sans même la froisser. Il se retourna vers elle, et lui sourit à nouveau, il était beaucoup plus à l’aise sans cette cravate autour du cou, et il se rapprocha d’elle. Ne comprenant pas ce qu’il voulait faire, elle se crispa, et Sasha lui déposa deux bises, qu’elle ne rendit même pas car elle était tétanisée.
– Tout va bien ? S’enquit Sasha toujours souriant.
– Euh… oui.
Elle tressautait d’excitation, et semblait encore une fois habitée d’un drôle de brasier localisé à un endroit bien précis de son corps. Il s’installa, après avoir montré ce qu’il tenait dans sa main, une bouteille de vin rouge, elle n’y connaissait rien en matière de vin, et se disait timidement qu’il devait s’agir peut-être d’une bouteille hors de prix. Elle parti chercher des verres et un tire-bouchon, et elle s’apprêtait à ouvrir la bouteille et à se servir deux verres, alors la main de Sasha se posa sur la sienne.
– Laissez-moi faire, on va également le laisser un peu à l’air avant de le consommer.
– Le… laisser… ?
– Oui il faut qu’il s’ouvre pour libérer les arômes.
« Toi aussi tu vas libérer des arômes si tu t’ouvres comme ça » lui susurra sa voix intérieure sur un ton sarcastique. Elle avait tellement chaud, et sa main chaude et puissante était toujours sur la sienne, elle avait l’impression d’être en cire et de commencer à fondre.
Alors il se rapprocha d’elle, elle pensait qu’il allait s’approcher de ses lèvres et Julie commença à fermer les yeux, mais Sasha lui murmura directement dans le creux de l’oreille, d’une voix ferme et grave.
– Dès que je vous ai vu le premier jour, j’ai tout de suite eu une attirance pour vous, vous êtes tellement belle, et si attirante, je ne saurais résister davantage à vos charmes.
« Le petit fumier ! C’est déloyal de chuchoter ainsi directement dans mon… » tonna sa voix intérieure qui se perdit dans le flot de ses pensées. Elle l’enserra et planta ses ongles dans ses épaules après l’avoir enfourché à califourchon, le canapé trembla. Elle l’embrassa passionnément, en arrachant sa chemise, les mains de Sasha trouvèrent prise sur son dos et sa hanche, il la replaça pour que son arrière-train se trouve juste sur son membre qui était déjà dur comme la pierre. Soudain elle suffoqua, elle manquait d’air ce fut sa première sensation, mais elle réalisa alors que les mains de Sasha étaient autour de son cou, et il commençait à serrer. Cela l’excita d’avantage, mais elle manquait cruellement d’air, et elle eut l’impression de tomber dans les pommes au moment même où il relâcha son emprise.
– J’ai des gouts particuliers quand on aborde ce sujet et je…
– Chuuuut, continue ce que tu faisais, fais le bien cette fois.
Ce fut désormais Sasha qui fut frappé d’une sensation électrique, il retourna Julie sur le canapé, souleva les plis de sa robe, écarta d’une traite sa petite culotte, et se mis à introduire plusieurs énormes doigts alors qu’elle eut un hoquet de surprise et le souffle légèrement coupé. Elle suça son index droit alors qu’il s’était rapproché d’elle, tout en continuant de fouiller son intimité. Il fit un mouvement avec son pouce alors que son index et son majeur continuaient des va et vient bienvenus. Et soudain il s’arrêta net, il sorti sa cravate de sa poche, cette dernière était toute froissée, bien moins classe que ce matin.
– Tu as un vibro ? dit-il d’une voix d’un grave totalement différent de son timbre habituel.
Elle fit signe de tête en répondant par l’affirmative en rougissant.
– Va le chercher ! l’ordre n’aurait pu être plus clair.
« Mais qu’est-ce que tu fais tu vas coucher avec ce… » commença sa voix tonitruante dans son esprit, mais elle disparu soudain alors qu’elle venait tout juste de fermer son tiroir à chaussette et petites culottes, et qu’elle sentit une main arracher sa culotte, et l’autre lui serrer la trachée alors qu’elle était plaquée vers lui. Elle le sentit alors lui entrer en elle, et elle voulut pousser un gémissement qui fut bloqué par sa main tenant fermement sa gorge.
Ils étaient debout dans sa chambre, elle tenait le vibro de la main droite, le bras légèrement levé, ne sachant plus du tout ce qu’elle devait en faire. Et se laissait aller à ce plaisir brutal qui l’emplissait de chaleur et d’excitation. Il lâcha son emprise sur sa trachée une nouvelle fois alors que ses jambes lâchaient. Il fit de sa cravate un bâillon, non sans avoir rouler en boule sa petite culotte dans sa bouche en guise de boule-bâillon. Il serrait le tout fort, et la poussa sur le lit, puis il tira sans aucun ménagement ses jambes pour la replacer, elle était désormais en levrette, toute tremblante et ruisselante. Max son labrador, se releva, et Sasha se retourna avant de lâcher sur un ton sec.
– Couché !
Max comme sa maitresse obéirent, elle se coucha ne présentant que son fessier, elle sut que Sasha venait d’allumer son vibro, car elle reconnu le bruit puis la sensation quelques secondes après sur son clito, elle tremblait et gémissait, bien que ses gémissements étaient désormais bloqués par son bâillon improvisé. Il l’inséra en entier et fit quelques va et vient avant de le laisser là-dedans. Et rien hormis la douce sensation de son compagnon vibrant, puis soudain un éclair de douleur se fit ressentir, il venait de rentrer, à peine, par derrière. Elle avait souvent dit à ses ex-compagnons qu’elle aimait également cette voie, mais trouvait toujours un prétexte pour ne pas subir de sodomie. Alors que son vibro était à fond dans son vagin, Sasha venait de la pénétrer sans la moindre préparation, et bien que partagée entre douleur et plaisir, l’excitation de recevoir deux verges en elle l’emporta, elle jouit en se répandant d’un immense flot sur sa couette en un long gémissement plaintif, lui continuait ses coups de rein, il semblait inarrêtable, et soudain, elle sentit ses soubresauts, et surtout une chaleur encore plus vive (comment était-ce possible ?) au fond de ses entrailles. Même après avoir joui, il continua, Sasha en voulait encore plus. Elle le supplia d’au moins retirer son vibro, car après avoir joui, toute cette zone devenait d’une sensibilité folle, il lui maintenait les mains dans le dos en continuant de la pilonner. Ce qui l’excitait elle comme lui. Elle jouit à nouveau au bout de quelques minutes mais avait désormais être branchée sur le 220V, et ne put s’empêcher de trembler de longues secondes, ce qui fit un effet bœuf à Sasha, qui se retira d’elle, puis extirpa le vibro d’un seul coup. Ce qui donna à Julie un soupir de soulagement, mais Sasha n’en avait pas terminé avec elle, il la retourna violement, et alors qu’il maintenait les poignets de Julie serrés dans ses mains et plaqués contre les oreillers, il commença à la prendre en missionnaire. Elle avait de plus en plus chaud, et se demandait si le sexe de Sasha allait arrêter de prendre du volume, elle avait l’impression que ce dernier devenait énorme. Elle le sentait sur certains de ses à-coups au fond de son utérus, ce qui ne manqua pas de la cambrer de douleur et d’extase à chacun de ces coups violents.
Il se retira d’elle avant de jouir sur ses seins, non sans avoir au préalable lâcher un cri de plaisir. Elle voulut se relever pour aller prendre une douche, mais Sasha l’en empêcha, en la gardant près d’elle en la tenant fermement contre lui. Et en lui susurrant à l’oreille :
– Tu es à moi…
Nota bene : alors après relecture j’ai constaté que la mise en page a été changée vu que les passages où l’héroïne se parle à elle même ne sont plus en italique. Navré pour la gêne occasionnée, bonne soirée !
Je remarque que mon précédent message a été effacé alors je recommence.
Eric, 40ans, maître es domination, adepte de différents style, tout aussi bien côté cérébral ou bien domination soft/hard physique (avec lots d’accessoires) enchanté de faire votre connaissance d’ailleurs.
J’écris bon nombre de nouvelles, basées sur la domination soft/ hard (j’avais d’ailleurs mis un court extrait d’environ 3300 mots mais il semblerait que ça ne soit pas du tout du goût de la modération)
Envoyez moi un mail que nous discutions plus avant et sans la moindre limite